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L'ETENDARD

2 avril 2005

Liberté d'expression ?

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En réponse à l'article signé par Guillaume Haffner, président de lEtendard, publié sur notre site le 01 avril 2005, Loïc Richard, son secrétaire général donne lui aussi son opinion. C'est un article écrit le 26 janvier 2005.

"Et voici que sonne de nouveau le tocsin qui appelle à la mise à mort finale de la bête traquée de toute part, de la crucifixion tant espérée du diable ! Ainsi en est elle de la suite médiatico-politique généralisée donnée après que le "journal de référence", il s'agit bien sur du Monde, ait ressortit en Une, et sorti de son contexte général, une phrase tirée d'un entretien que le président Le Pen a accordé aux journalistes de l'hebdomadaire Rivarol et publiée le 7 janvier dernier.

Et quel tsunami de haine a déferlé à l'encontre de l'homme qui arriva en seconde position lors des présidentielles de 2002 ! Au point même que le sinistre sire Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste au Palais Bourbon, l'a carrément traité de collabo, tandis qu'évidemment d'autres démocrates de tout poil et de toute officine en appelaient immédiatement à la dissolution du Front National: décidément la liberté d'expression et d'opinion en France et en Europe a du souci à se faire !

Qu'a donc dit le président du FN pour subir une telle attaque ? Il a tout simplement dit que l'occupation des troupes allemandes durant le dernier conflit mondial s'était déroulée, par rapport à d'autres pays et à d'autres peuples, d'une façon généralement humaine. Est-ce pour autant approuver les actes des tortionnaires nazis qui ont massacrés à Oradour et ailleurs, comme le suggère France soir ? Non, il s'agit là pour les ennemis de la cause nationale de minimiser la teneur de l'action politique menée par le FN et par son président, alors que l'année 2005 verra se jouer le destin de notre pays.

Il est clair que la classe dominante a peur. Elle a peur que lors du référendum sur la constitution européenne, le NON porté en grande partie, par le Front National, ne lui enlève la victoire. Alors, elle utilise ce quelle sait le mieux manipuler: la désinformation et le mensonge.

A chacun de savoir ce qu'il reste à faire.

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1 avril 2005

Nouveau "point de détail"

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Nous publions ci-dessous un article écrit le 24 janvier 2005 par Guillaume Haffner, président de "L'Etendard", revenant sur les déclarations faites par le président du FN à la presse.

"L'année 2005, du point de vue politique, débutait pourtant pour de bons hospices pour la famille qu'est la droite nationale et populaire. La perspective du référendum sur l'acceptation du traité constitutionnel européen couplé avec le risque de l'entrée de la Turquie au sein de l'Union européenne avec son résultat toujours sujet à de sérieux pronostics, allait à coup sur, redynamiser la voix populaire et nationale.

Las, le président du plus important parti politique de cette famille, et qui porte à lui seul, la quasi-totalité des espoirs du NON national, c'est de nouveau fourvoyé dans un entretien avec la presse ( de plus il s'agit de Rivarol ! ) et a déclaré qu'en fin de compte "l'occupation allemande ne s'était pas déroulée de façon inhumaine dans l'ensemble, dans un pays de 555 000 km²", alors que dans quelques jours se déroulent les commémorations de la libération des camps d'extermination nazis ! C'est de nouveau le coup du "détail" qui se rejoue.

Certains diront que l'on a interprété ces propos, qu'il s'agit là, forcément, d'un nouveau complot contre le vieux et fier menhir breton, que la ficelle est trop grosse pour que l'on s'y laisse prendre. Allez donc, de telles réflexions rendues publiques ne peuvent être que le fruit d'une mûre décision, que Jean-Marie Le Pen ne va pas essayer de nouveau, alors que son image s'est maintenue à la hausse dans le grand public, de se faire haïr par l'ensemble de la classe politico-médiatique et, il faut bien le dire, d'une majorité de Français choqués et incrédules.

Moi je pense qu'effectivement le chef du Front National a sciemment choisit de provoquer cette vague de rejet qui le touche personnellement, bien sur, mais surtout qui frappe l'ensemble du mouvement : ses cadres, ses militants, ses sympathisants et aussi... ses électeurs. Alors que le FN est soumis depuis plusieurs années à une sourde guerre de succession, il aparaît clairement que le vieux chef, qui aura 77 ans cette année, n'a aucune intention de quitter la barre. Ces propos ne vont pas non plus dans le sens souhaité par nombre de ces éventuels dauphins dont sa propre fille Marine, vice présidente, qui tentait jusqu'à présent de rendre le FN plus acceptable auprès de la presse et du monde économique. Non, Jean-Marie Le Pen a créé le Front National en 1974 et il ne le laissera à personne: Le navire coulera avec lui !

Bien sur, il se défend de pouvoir seulement envisager de telles choses, cependant, les faits sont là. A chaque fois que sa succession paraissait être en discussion de façon pressante, il s'est débrouillé pour faire parler de lui de différantes manières. Il y a eu le fameux coup du "détail" qui concernait déjà la période 1939/1945, dernièrement suivi par les propos de Bruno Gollnisch, condamnée par Marine Le Pen..puis surtout le clash de 1998 avec le départ de Bruno Mégret et de la majorité des dirigeants.

Alors quoi d'étonnants face à une telle stratégie du vide calculé ? Pas grand chose venant d'un homme comme Jean-Marie Le Pen, tribun formidable, grand hallebardeur des plateaux de télévision qui utilise la parole comme une arme de destruction massive ! Seulement, c'est se moquer ouvertement de ceux, des millers en ce qui concerne les militants,et des millions pour ce qui est des électeurs qui lui auront fait confiance au cours de ces trente dernières années et, ne l'oublions pas, qui lui auront permis de faire fructifier une imense fortune. Si en fin de compte il ne s'agissait que de l'exercice d'un pur égoïsme, l'idée politique serait alors en phase terminale !

Revenons à la cause première de ce nouveau tourbillon médiatico-politique: les déclarationsfaites à Rivarol. De la façon dont elle est pronocée cette phrase est totalement inacceptable car elle revient à dire que les nazis n'ont en rien sévis en France ( plus de 600 000 morts tout de même ! ) et elle témoigne d'un nouveau mépris envers leurs victimes, ainsi que tous ceux, juifs et autres, qui ont soufferts de leurs actions. Nous ne pouvons l'accepter. Personnellement, et cela n'engage que moi au sein de L'Etendard , je ne peux l'accepter.

Membre du Front National depuis douze ans, donc membre de la famille politiqiue dite droite nationale, si les propos de Jean-Marie Le Pen sont réellement pensés et posés, ce que je crois, je ne peux franchement pas continuer à militer au sein d'une formation qui, au travers de son principal chef, pardonne les exactions du nazisme et dponc de tous les totalitarismes et lui prète de ce fait, une "oreille affectueuse". On ne peut accepter de pareils formules exprimées par un homme qui aspireun jour à diriger notre pays. Aussi, j'ai décidé de ne pas renouveler ma carte en 2005 au Front National.

Pourtant , loin de moi l'idée d'abandonner le combat politique, alors que justement, cette année 2005, est une année cruciale, pour ne pas dire l'année cruciale qui déterminera l'avenir non seulement de la France et de l'Europe mais aussi et surtout l'avenir de nos enfants, car, et réfléchissons-y bien, voulons-nous d'une Europe turque avec tout ce que que cela veut dire ? Voulons-nous d'une Europe axée sur le profit financier ? Pour ma part, c'est NON. Alors que faire ? Rejoindre la cohorte des citoyens continuellement indécis qui une année va voter pour la "droite républicaine" et l'année suivante socialiste ? Vais-je les dimanche d'élection faire comme bon nombre de nos compatriote prendre ma canne et partir faire une partie de pêche ? Non, je continuerai à défendre mes opinions.

Heueusement pour la France, il n'y a pas que le Front National pour défendre la souveraineté nationale et rejeter, entre bien d'autres choses, l'immigration-invasion et son corolaire qui est l'islamisation. Comme je le rappelle plus haut, en 1998, le délégué général du FN, Bruno Mégret, suite à une extraordinaire entreprise de manipulation était exclu du mouvement. Il entraînait avec lui énormément de militants et de cadres et créait le Mouvement National Républicain. On connait la suite, ce fut déboire après déboire, une descente au purgatoire de la politique. Cependant, Bruno Mégret, abandonné de toute part par ses adjoints, et non des moindres, n'a jamais lâché le morceau , ce qui prouve bien que pour lui, ce n'est pas le profit ou la gloire personnelle qu'il cherche en politique ! De plus, la droite nationale ne risque pas de se mettre continuellement en "ligne de mire" par ses déclarations: Bruno Mégret, lui, réfléchi aux conséquences de ses paroles !

Le MNR est un petit parti qui a le mérite de continuer d'affirmer son programme, son idéal, ses convictions et ce, contre vent et marée, ce sont là, les raisons principales pour lesquels j'adhère à ce mouvement.

Espérons alors que la disparition programmée à plus ou moins court terme du Front National ( du moins dan sa version actuelle ) , ne signifiera pas celle de nos idées politiques: nationales et populaires. Cela, nous ne l'accepteront pas non plus."

31 mars 2005

Soutiens du Québec

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Au delà de l'océan Atlantique, de nombreux québecois se soucient du devenir de notre nation, si, par malheur, la constitution européenne était adoptée. Ils savent, eux, ce que c'est d'être grignotés, avalés, réduit à l'état de main-d'oeuvre par un mastodonte, pour le Québec, il s'agit de l'emprise canadienne-anglaise, et pour la France de celle de la pieuvre bruxelloise. Nous publions ci-dessous un texte mis en ligne le 8 mars dernier sur le site http://voxlatina.com/ signée de Marie-France Vallée, militante indépendantiste québecoise.

Doit-on dire adieu à la France ?

Certains parmis les notres s'en réjouiront. D'autres comme le gouvernement canadien et ses mercenaires québécois français, de même que beaucoup de francophones hors Québec, bien formatés, bien assimilés, bien colonisés, à tel point qu'ils ne savent que vomir sur leur origine, se préparent sans doute à sabler un champagne américain ( !!! ) si le OUI l'emportait. Ce qui ne semble pas le cas dans le moment selon les derniers sondages. C'est de bonne augure !

Je ne connais pas cette "constitution" européenne-américaine dans les détails, mais d'instinct, je sais quelle ressemble drôlement à du fédéralisme unitariste à la canadian qui conduira et réduira éventuellement ( les anglo-saxons sont patients ) , la France à une province comme le Québec. Une province sans pouvoir, et dont les habitants perdront leur identité ( langue, culture et religion ) si essentielle à l'équilibre et à la survie des nations. Nous connaissons bien ici les résultats de ce fédéralisme dévastateur qui n'a de cesse de vouloir nous faire disparaitre depuis la conquête.

C'est pourquoi je m'adresse aux lecteurs de Vigile ( site prônant l'indépendance du Québec ( ndw ) avec conviction, persuadée que je suis, que la France est aux abois. Quelle se retrouve dans ses derniers retranchements pour défendre sa survioe en tant  que nation indépendante.Que la situation ressemble de plus en plus à la notre dans la fédération canadian. Il m'appararait évident qu'il faut lui apporter aide et assistance dans les circonstances. Je suis une lectrice du site voxlatina.com et je vois bien que la France, la vraie France appelle à l'aide.

Si la France venait à se noyer dans le grand tout européen, que deviendrons-nous ? Quelle serait notre référence ? Quelles seraient nos chances de survie ? Qui pourrait nous défendre ? Rappelez-vous le général De Gaulle en 1967..J'ai la conviction que ce serait notre fin en tant que québécois français. Que pourrions nous faire dans ce cas ? Nous jeter dans les bras des canadians ( lire orangistes pour qui le Canada n'est qu'une grande entrepriseoùù ils font des affaires entre eux et avec leurs mercenaires ) comme beaucoup le font depuis le référendum presque gagné de 1995 ? Des lâches !

Je ne comprends pas, et je trouve inquiétant, ce silence des éditorialistes, des souverainistes ( PQ et BQ ) des hommes et femmes politiques à tout niveau, incluant les syndicats, les regroupements de tous ordres, et surtout, des mouvements patriotiques et nationalistes. Que craignent-t-ils ? Ont-t-ils renoncés à leur identité ? Ont-ils décidés qu'il valait mieux, à la suite de Gérard Bouchard,faire l'éloge de notre américanité, cette nouvelle trouvaille pour gagner du temps avant l'assimiliation finale ?

Je crois bien sincèrement que les québécois devraient réfléchir sérieusement aux conséquences, pour eux de la francophonie en général, de la disparition de la France telle que nous la connaissons. N'oublions pas quelle a été et est encore un chef de fil; nous l'avons vu agir lors de la guerre en Irak. Il faut s'en souvenir; nous en étions fiers en ce moment là. Je ne dis pas que la France n'a pas de défaut et que tout est parfait, mais nul pays en occident ne peut prétendre avoir été aussi civilisateur, et ce depuis le roi Clovis.

à tout hasard, je vous invite à lire à l'adresse indiquée plus haut un argumentaire du Non à la constitution européenne. Cet argumentaire vous convaicra davantage que moi. Quant à moi, je fais tout ce que je peux pour convaincre les Français de passage au Québec, en les invitant à voter NON. Pour cela, le meilleur argument est "la triste histoire d'un peuple victime du fédéralisme canadian et qui disparait lentement", je dois vous dire que les résultats sont encourageants.

Faisons un effort pour venir en aide, parce que c'est de cela qu'il s'agit, à nos parents français. Sinon que deviendront-t-ils? Et que deviendrons-nous? Je vous en prie oublions le passé et ne pensons qu'à l'avenir.

Ne disons pas adieu à la France... en faisant silence.

29 mars 2005

Le NON à la Turquie

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Voici le dossier proposé par le site du mouvement national républicain de bruno mégret consacré à la future intégration d'ankara au sein de l'union européenne. C'est un excellent résumé de tous ce qui nous fait craindre cette nouvelle donne voulue par nos représentants très démocrates.

Sources: http://www.m-n-r.net/

La constitution qui ne définit ni les frontières ni l'identité de l'Europe, est prévue pour faire entrer la Turquie dans l'Union. Il est en effet totalement faux d'affirmer que la question de la constitution et que celle de l'adhésion de la Turquie doivent être distinguées. En refusant de définir les frontières de l'Europe, en renoncant à introduire la référence du christianisme dans le préambule de la constitution, ses rédacteurs ont voulus qu'elle soit compatible avec l'adhésion de la Turquie.Il est d'ailleurs significatif que le traité instaurant cette constitution ait été signé par le premier ministre turc. Plus symboliquement encore, il est frappant de constater que le jour choisi pour le référendum est le 29 mai le jour anniversaire de la prise de Constantinople par les turcs en 1453.

Or, la Turquie n'a pas sa place dans l'Union européenne. Sans même parler des conséquences économiques ravageuses qu'entraîneraient l'adhésion d'un pays de 70 millions de ressortissants dont le PIB par habitant et de 5000 dolllars xontre 20000 dollars en moyenne dans l'Union européenne, rien ne justifie l'adhésion de l'Asie mineure à l'Europe. Car, si estimable soit-elle, la Turquie n'est pas une nation européenne: plus de 97 % du territoire turc sr trouvent en Asie et 99 % de ses habitants sont musulmans. Si la Turquie adhère à l'Union, alors quelques 70 millions de musulmans bénéficieraient de la liberté de circulation dans une Europe qui se découvrirait des frontières communes avec l'Iran, l'Irak, la Syrie et l'Azerbaïdjan. Laisser adhérer la Turquie, c'est accepter que l'Union européenne n'ait plus aucune identité ni aucune limite géographique, c'est donc détruire l'Europe.

Pour le MNR, l'Europe est beaucoup plus qu'un simple traité économique ou une vague référence aux droits de l'homme, elle est une communauté de civilisation et c'est pourquoi la Turquie, qui ne procède pas de notre civilisation, n'a pas vocation a y adhérer. Le MNR s'opposera donc de toutes ses forces à l'adhésion de la Turquie et invitera les électeurs à s'y opposer pour cinq raisons fondamentales.

1 ) La Turquie n'est pas une nation d'Europe. géographiquement, la Turquie est tournée vers l'Asie et culturellement vers... la Mecque ! Accepter l'adhésion de la Turquie, c'est briser l'homogénéité culturelle de l'Europe et ne plus fixer aucune limite à son élargissement. " Si la Turquie fait son entrée, écrivait dernièrement Alain Duhamel dans Libération, alors pourquoi pas les républiques musulmanes de l'ex-URSS, les pays du Maghreb ou Israël ? Cela n'aurait rien d'impossible en soi. L'Europe entretient avec de nombreux pays d'Afrique ou du Proche-Orient des liens historiques bien plus forts qu'avec la Turquie". Laisser la Turquie adhérer à l'Union, c'est donc provoquer une dillution sans fin de l'Europe au sein de l'Asie et de l'Afrique, c'est donc accepter la destruction de l'Europe.

2 ) L'adhésion de la Turquie provoquera une vague d'immigration sans précédent dans l'histoire de l'Europe. La Turquie compte en effet une population de 70 millions d'habitants, presque tous musulmans, qui seront 88 millions en 2025 du fait d'une démographie galopante. Comme la libre circulation des personnes constitue une règle de base de l'Union européenne, il est clair que ces populations, attirées par le niveau de vie et la protection sociale européens, émigreront en masse vers l'Europe.

3 ) L'adhésion de la Turquie favoriserait l'islamisation de l'Europe. Quelque 99 % des 70 millions de turcs sont de confession musulmane. La tentative de Mustafa Kemal Atatürk d'européaniser la Turquie a finalement échouée comme l'a démontré de façon éloquente la victoire des islamistes turcs lors des dernières élections législatives. Sous une mince couche de vernis laïc, la Turquie et les turcs reste profondément musulmans. Cela n'a rien de condamnable. Mais cela ne donne pas vocation à entrer dans l'Europe.

4 ) L'adhésion de la Turquie représenterait un suicide économique et social. Dans ce pays, le PNB par habitant est évalué à moins de 3 700 € contre 15 000 pour l'Union européenne. De plus son taux d'inflation oscille autour des 100 % par an contre 1,4 % en moyenne chez les pays membres. Avec de telles disparités, la facture de l'adhésion de la Turquie serait lourde pour les travailleurs français et européens. Non seulement ceux-ci se verraient concurrencés sur leur propre sol par la main d'oeuvre bon marché des immigrés turcs, mais de nombreuses entreprises françaises et européennes ne résisteraient pas à la tentation de délocaliser leurs activités en Asie mineure. L'adhésion de la Turquie se solderait donc par l'explosion du chômage pour les travailleurs français et européens.

5 ) L'adhésion de la Turquie aurait aussi un coût fiscal considérable, car elle impliquerait l'instauration d'un véritable "plan Marshall européen" pour aider ce pays à combler son retard économique. or, ces flux financiers ne pourraient se faire qu'au détriment des contribuables français et européens. Non seulement ceux-ci seraient sommés de financer les milliards d'euros qui se déverseraient sur la Turquie, mais de nombreuses aides européennes qui bénéficiaient jusqu'ici à la France seraient nécessairement réorientées vers les turcs. L'adhésion de la Turquie signifierait donc pour la France encore moins de subventions européennes et encore plus d' impôts.

28 mars 2005

Dire NON à cette Europe là !

Le président Chirac qui avait annoncé lors de sa traditionnelle parlotte journalistique du 14 juillet 2004, la tenue, à l'horizon de l'automne 2005 d'un référendum sur le traité constitutionnel européen à donc accelérer le processus, surement pour contrer ceux qui voulaient lui mettre des bâtons dans les roues et oser faire campagne contre ce funeste projet : ce sera finalement le dimanche 29 mai, dans deux mois...

Evidemment le camp du "oui" bénéficie d'un large avantage puisqu'il est relayé par la majorité des médias Français, que ce soit la presse écrite, parlée ou télévisée, c'est pourquoi L'Etendard va participer, modestement, à l'information des citoyens, dans le sens opposé, afin qu'ils n'hésitent pas, le jour J, à glisser massivement des bulletins NON dans l'urne.

Dernièrement, le MPF de Philippe de Villiers, à présenté sur son site internet plusieurs documents très intéressants, permettant à chacun de s'informer sur le texte proposé à référendum, nous vous y envoyons bien volontier , cliqué sur http://www.mpf-villiers.com/ . Les mouvements et partis de notre mouvance ont également laissé une grande place sur leurs sites au débat sur la constitution européenne. Ainsi le Front National à consacré le site de ses europarlementaires à son opposition au traité: http://www.europnat.com/constitution.php. La mobilisation doit donc être générale afin que le soir du 29 mai, nous puissions affirmer le devenir de notre nation. Nous reviendrons sur ce sujet dans de prochains articles.

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27 mars 2005

Qui sommes-nous ?

sans_titreL'Etendard rassemble des hommes et des femmes venus de divers horizons politiques, de la droite et de la gauche patriotique, du monde nationaliste français, du régionalisme identitaire, de la sphère royaliste, etc, qui ont pour objectif premier d'informer nos compatriotes sur le devenir de notre pays, de l'organisation interne et de la culture française, de la construction souhaitée d'une nouvelle Europe politique, et du futur de notre planète face aux dangers multiples qui la menacent. De contrer par l'action politique et la communication la gangrène antidémocratique issue de l'idéologie du politiquement correct qui veut que tout soit beau et bon dans notre monde, ainsi que d'exiger que le peuple souverain soitconsulté régulièrement sur les sujets fondamentaux. L'Etendard propose au travers de ses moyens de communication, et notamment de son blog, une vision d'ensemble sur les différantes façons de voir la France, sous un regard patriotique, donc original.

Nous ne le cachons pas, l'Etendard est majoritairement issu de la mouvance droite nationale, la plupart d'entre nous sont donc également adhérants et militants de partis politiques dits, par facilité et souvent par mépris, d'extrême-droite, ( ce que nous réfutons ! ). S'il est proche de mouvements tels que le Front National, le MNR ou le Mouvement Pour la France ou encore l'Action Française,il partage de nombreux points de vues avec les autres organisations patriotiques y compris les mouvements régionalistes identitaires tels Alsace d'Abord, la Ligue Comtoise ou encore le Mouvement Régionaliste de Bretagne, qui peuvent parfois être en total désaccord avec d'autres mouvements patriotiques, mais c'est bien là, la richesse de notre mouvance. Il est en accord aussi, sur certains sujets, avec les mouvements souverainistes de la tendance droite républicaine comme le sont le RIF ou encore le club Debout la République, présidé par le député UMP Nicolas Dupont-Aignan. Il est parfois en phase avec des mouvements de gauche, telle l'association altermondialiste Attac ou encore le PCF, sur les questions touchants au domaine social, hors immigration, évidemment !

L'Etendard est souverainiste dans le sens où il s'oppose fermement à la vision européenne proposée par Giscard et ses amis qu'ils soient conservateurs ou progressistes. Car, il faut le dire, la plupart des partis démocrates-chrétiens et sociaux-démocrates - malgré de belles déclarations - à l'image en France du PS et de l'UMP semblent avoir intégré à leurs programmes et doctrines le libre-échange, la flexibilité et la domination des pouvoirs d'argent au détriment du reste.

L'association accepte en son sein tous ceux et toutes celles qui partagent ses opinions. Chacun des adhérants s'expriment librement sur tous les sujets et dans tous les domaines, l'appartenance à un parti politique est évidemment acceptée et même conseillée. Le militantisme syndical et associatif est recommandé puisqu'il s'agit de s'impliquer dans la vie publique et sociale de notre société.

L'Etendard souhaite à l'avenir, la France préservée dans son rôle de nation et de promoteur de notre civilisation. Pour cela, nous prônons le remplacement de la république actuelle, galvaudée et asservie à une caste, par l'instauration d'une nouvelle entité, voir une monarchie constitutionnelle fédérale en France, ce qui est l'unique gage du maintien de l'unité de la nation et de sa marque internationale. Nous estimons que la France doit reconnaître les différences et les particularismes des régions qui fondent notre pays, en cela nous sommes favorables à une France fédérale.

Nous ne sommes bien sur aucunement favorable à l'Europe telle quelle sera si par malheur, la constitution voulue par Jacques Chirac et consorts est imposée. Nous sommes partisans d'une Europe des nations. L'association se positionne dans le débat national pour une France ouverte sur le monde, mais ferme quant à son identité.

L'Etendard est profondémment ataché à la promotion et au devenir de la langue française - comme il l'est également de celle des langues régionales - en France, bien sur, mais aussi partout dans le monde, en Suisse, en Belgique, en Afrique et en terre d'Amérique. Longtemps première, puis seconde langue usitée sur le globe, le français se trouve aujourd'hui menacé et ce, même en France ! L'Etendard est particulièrement attaché à la défense des comunautés francophones de Belgique qui luttent à l'instar des nationalistes flamands pour leur autonomie réelle au sein d'un Etat croupion construit de toute pièce.

Point particulier, le Canada. Cette dernière confédération qui, officiellement, est bilingue sera spécifiquement dans nos préoccupations puisque L'Etendard outre qu'il soutient l'action des mouvements souverainistes québécois face aux multiples agressions des lobbies Canadians ( terme retenu désormais par les souverainistes québécois pour désigner les actions des canadiens-anglais et de leurs soutiens ), est partenaire d'une association cousine: "l'Etendard du Québec" qui aura également, prochainement, son blog.

L'Etendard reste cependant une association, et à ce titre il n'a pas vocation a participer à des scrutins électoraux, elle s'exprimera librement et à tous moment grâce à l'ensemble de ses moyens de communication.

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